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Le coronavirus occupe les têtes d’un très grand nombre de chercheurs dans le monde. Entre les nombreux vaccins en cours de préparation, les app de contact tracing et les nouveaux appareils de détection, le coronavirus a créé à lui seul un nouveau secteur économique d’activité. Les militaires sont aussi sur le coup : le DIU américain (Defense Innovation Unit) en partenariat avec le DTRA (Defense Threat Reduction Agency) et Philips Healthcare développement de nouveaux appareils destinés à améliorer la lutte anti-COVID.
Le brainstorming de cette alliance sanitaire de circonstance vient de déboucher sur un nouvel outil de santé basé sur une montre connectée Garmin couplée à un anneau Oura (deux appareils déjà disponibles à la vente). L’anneau fournit des informations de santé (variation de température par exemple) à la smartwatch, puis cette dernière analyse cette masse de données via un algorithme mis au point par Philips. L’objectif ici n’est pas de détecter directement la présence du coronavirus mais de fournir une probabilité d’infection, sur une échelle de 1 à 100, et jusqu’à 2 jours avant l’apparition des premiers symptômes !
Le coronavirus n’était pas l’objectif initial du projet, mais les chercheurs se sont rendus compte que leur système fonctionnait plutôt bien avec les virus respiratoires de type SRAS, auquel appartient la COVID-19. Dans le détail, le duo smartwatch-anneau Oura serait capable d’identifier 6 « marqueurs » caractéristiques de la santé globale d’un individu. Lors des premiers tests « live » effectués sur environ 400 cobayes, l’algorithme de Philips a ainsi pu détecter avec justesse un cas de COVID-19 non diagnostiqué au préalable. Le prochain test à plus grande échelle intégrera jusqu’à 5000 participants.
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